Thomas Merceron

Il dessine aujourd’hui dans la presse, l'édition, le packaging, la mode, en collaborant avec de grands noms comme le New York Times, The New Yorker ou encore Les Échos. Il a fait la couverture de Kiblind ou l’Hémicycle, et travaille en bande dessinée avec Métal Hurlant.

Chaque scènes intrigantes des œuvres personnelles de Thomas Merceron racontent une histoire, loin d'être complète. Aucun indice pour devenir l'avant ou l'après.
Tout au long de ses pièces, l'illustrateur évoque un sentiment de mystère. Il témoigne alors d’une pulsion interne, d’une sensation de bien-être ou de mal-être, sans avoir à la justifier. Sûrement par pudeur.
Plutôt que de conduire son public à une conclusion, il veut que le public fasse pleinement l'expérience de ce qu'il voit et définisse ses propres idées uniques.

Inspirées par l'astronomie et la mode, les illustrations de Thomas sont parsemées de motifs astraux et de tenues fortes avec une influence claire des années 80. En termes de matériaux, Thomas utilise un mélange de pastel, d'encre de chine et parfois d'outils numériques, une diversité qui lui permet une plus grande liberté pour répondre à ses désirs et inspirations du moment.
La seule constante visuelle tout au long de l'œuvre de Thomas est l'utilisation du noir. Utilisé pour créer un sentiment de profondeur et de contraste dramatique, il voit la couleur comme « ponctuant » toutes ses pièces, tandis que d'autres couleurs jouent un rôle en « enrichissant » l'intensité de la noirceur.

Retrouvez son travail dans la boutique COLLOQUE
Son site personnel pour retrouver son portfolio est ici